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La méditation d’enracinement


Objectif de cette méditation : favoriser l’accès à la structure de la mémoire de la terre. 


Ici on parle de la connexion entre les biens du haut matérialiser vers le bas. Dans ce processus de rééquilibrage et de manifestations trois facteurs est mise en place pour permettre à chacun de régénérer ses biens.


1: Le facteur de stabilisation


Il agit comme une clé de construction cellulaire : il ouvre la voie d’accès à la mémoire inscrite dans chaque cellule, en reliant les plans vibratoires de l’être à son organisation biologique. Ce facteur est propulsé par l’harmonisation des fréquences, comme si chaque onde sonore contribuait à réaligner les structures internes. Ainsi s’activent les points de construction, polarités positive et négative qui ancrent chaque fréquence dans la matière.


Nous parlons ici de dimensionnalisation des corps de construction : un processus par lequel l’information, encore à l’état subtil ou potentiel, s’organise dans la matière vivante. Cela implique l’émergence de formes et de fonctions, guidées par des champs informationnels portés par la cellule.


Pour en saisir le fonctionnement, il est essentiel de revenir à la mémoire utérine, à ce lieu d’origine où l’être prend forme. C’est dans cet état primordial que la cellule mère pulse sa première onde électrique, activant la fonction et la structure de la cellule primitive. De cette pulsation originelle émergent les deux cellules filles, chacune porteuse d’un fragment codé de la mémoire initiale.


C’est dans cette stabilité du signal que s’imprime la mémoire : une mémoire cellulaire vivante, transmise dans l’architecture des corps, et répondant à l’appel de sa propre construction.


Nous parlons ici de la manifestation structurelle de l’information, de cette intelligence qui gouverne chaque division cellulaire, chaque différenciation, chaque agencement dans l’espace du vivant.


2: Le facteur de consolidation


Il peut être perçu comme un principe d’équilibre entre deux pôles qu’ils soient électriques, biologiques ou vibratoires.

Dans le corps, cet alignement crée une circulation cohérente de l'information, comparable à la transmission des signaux électriques entre cellules nerveuses, ou à la polarisation des membranes cellulaires qui permet le passage d’ions, véritables vecteurs d’organisation.


Chaque point de jonction comme une synapse, une interface entre tissus ou encore un centre énergétique devient un lieu de fusion où s’ouvrent les canaux de libération des tensions.

Ces tensions peuvent être vues, scientifiquement, comme des déséquilibres biochimiques, des inflammations ou des boucles neuronales de stress. Leur libération permet une désactivation des blocages et favorise une meilleure interconnexion entre les structures du corps, qu'elles soient cellulaires, organiques ou neuronales.


La mise en mouvement de ces systèmes crée ce que l’on pourrait appeler des champs de propulsion des dynamiques internes qui orientent la croissance, la régénération ou la transformation.

En biologie, cela peut être rapproché des gradients morphogénétiques (qui orientent la forme et la structure d’un organisme), des flux calciques intracellulaires, ou des forces mécaniques qui guident les cellules dans le tissu.


Ce facteur de consolidation, une fois activé, s’associe au facteur de stabilisation : ensemble, ils permettent l’intégration de l’information mémorielle dans une structure stable, ancrée à la fois dans le corps et dans son environnement.

On pourrait rapprocher cela des processus d’épigénétique, où l’environnement y compris les champs électromagnétiques influence l’expression des gènes, modifiant ainsi la structure fonctionnelle de l’organisme sans toucher à l’ADN.


L’ensemble s’inscrit dans une interaction avec le champ magnétique terrestre.

De nombreuses études ont montré que les êtres vivants réagissent aux champs géomagnétiques, et certains chercheurs suggèrent que ces champs pourraient même soutenir la cohérence de certains rythmes biologiques (comme les cycles circadiens ou la variabilité cardiaque).


Ce mouvement global du haut vers le bas, de la polarité céleste à l’ancrage tellurique peut être vu comme une fusion des plans : biologique, énergétique, informationnel.

C’est l’union du champ de conscience avec la matière, où chaque cellule devient un récepteur et un émetteur, intégrant l’universel dans sa propre mémoire.


3: Le facteur de propulsion


Il est un champ en mouvement, une force de transmission interne qui agit depuis le cœur vibratoire de chaque cellule souche. Il est l’élan premier, celui qui met en marche les structures internes, qui oriente l’organisation du vivant à travers des canaux invisibles, mais parfaitement ordonnés.


C’est un ensemble d’éléments informationnels, vibratoires, bioélectriques qui distribuent l’impulsion fondatrice au noyau interne. Là où le silence du potentiel rencontre la vibration du passage à l’acte.


Cette structure de construction que l’on peut percevoir comme une matrice organisatrice transmet à l’ensemble du système la marche à suivre, le plan d’émergence, pour qu’une propulsion stable se manifeste depuis chaque point de fusion.


Chaque point de fusion est un espace où des forces opposées s’unissent, où la lumière d’une intention rencontre la densité d’une mémoire.

Ce processus peut être associé à ce que la science appelle les mécanismes d’induction cellulaire, où une cellule donne à une autre des signaux lui indiquant quel type de cellule devenir. Cela se joue souvent dans le microenvironnement des cellules souches, où des signaux biochimiques et gradients morphogénétiques orientent le développement. D’un point de vue physique, la bioélectricité joue aussi un rôle fondamental : des microcourants et des potentiels de membrane guident la polarisation et la différenciation cellulaire une forme moderne, mesurable, de propulsion informationnelle.


Ainsi, le facteur de propulsion régule le rythme des pulsations internes : chaque cellule bat à l’unisson d’un taux précis, d’une fréquence qui contient la mémoire et la direction de son devenir.


Lorsque cette pulsation atteint son seuil d’harmonie, la lumière interne peut s’activer. Cette lumière, c’est la présence vibratoire, l’intelligence active de la structure, cette forme de conscience cellulaire qui se souvient de l’origine et en projette la mise en forme.


Tout alors s’organise dans un cercle bien défini, une spirale, un champ de rotation qui encapsule l’intention, la direction et la stabilisation du mouvement. C’est ce champ qui donne naissance à une réalité stable issue d’une mémoire interne, mais projetée dans la matière.


Nous sommes ici dans la propulsion des informations, dans leur passage du non-manifesté au manifesté, de la vibration pure à la structure visible, dans un mouvement permanent entre l’intérieur et l’extérieur.



Méditation et mondes sollicités


Cette méditation est donc une invitation à régénérer nos cellules, à intégrer la lumière et la propulsion des informations dans nos structures internes. Afin que chaque atome s’aligne avec notre état cosmique, pour reprogrammer notre réalité.


C’est un ensemble de points qui donne naissance à d’autres points de lumière, le tout dans le but de maintenir la force cosmique dans la structure de la matière, afin de favoriser l’incarnation de notre réalité.


Cette méditation est un appel à l’élévation de chaque être, à maintenir son taux d’équilibre, pour respecter sa dimension et son ancrage.

C’est également un moment pour donner à chaque pilier une force dans sa projection.


Elle s’adresse à tous ceux et celles qui cherchent à stabiliser et équilibrer leur vie, à tous ceux et celles qui veulent ancrer une force intérieure afin de réaliser leurs projets, y compris dans les domaines matériels.


Ainsi, en respectant les lois cosmiques, le taux de charge s’aligne avec les tensions, pour enraciner l’émergence nécessaire à la réussite de chacun.


C’est un moment de propulsion et d’incarnation des sons.



Quels sont les mondes qui seront sollicités ?


Durant cette méditation, trois mondes seront sollicités :


Le monde de la création, rattaché à la lumière créatrice, que nous appelons les MbuMuNdia NzuNGu.


Un monde de clairvoyance et de purification des charges.


Ici, la lumière est portée par les sons féminins, qui structurent l’état fondamental de l’être.

On le perçoit dans sa construction comme dans sa mise en action.


C’est à la fois le passé et le futur déposés dans le présent un appel à une dimension élevée pour chaque point de lumière.


Ce processus demande une clarté de soi et une écoute profonde de sa propre lumière. Ainsi, le haut dépose vers le bas ce que le Y (la structure de l’être) doit devenir.


Le monde de la structure créatrice donne et libère la fonction de l’être. C’est un lieu du vivant qui porte et distribue le vivant. C’est ainsi que la stabilisation lumineuse émerge dans l’éveil de l’être.


Pour comprendre ce monde, il suffit de se connecter à sa lumière primordiale :

elle est le siège du vivant, un lieu riche en propulsion informationnelle.


Ici repose le savoir et l’héritage informationnel de toute chose.


C’est le berceau de l’équilibre de la vie.


Ensuite vient le monde des MbuMuNdia NziNga un lieu de passage entre l’héritage et l’abondance des charges informationnelles.


Ici, on parle de pouvoir conscient, de stabilité et de construction vivante. Un monde qui régit le savoir et l’action dans le mouvement.


On y fait appel à l’équilibre du soi, à sa place dans son propre monde, à l’élan de se libérer et de vibrer sa propre manifestation. C’est une poussée libératrice du soi, un mécanisme qui appelle à la souveraineté de notre état primordial. Une canalisation portée sur l’être, sur sa structure vibrante et vivante, dans la réalisation de sa propre vie.


C’est un appel à se régénérer, à manifester son autorité dans son lieu d’incarnation. Ce monde est une amplification de données de libération et d’équilibre de l’être en mouvement.


Enfin, le monde des MbuMuNdia Makaba, s’adresse aux incarnés : ceux qui sont appelés à restructurer leur monde et à implanter leur commencement. C’est la racine du vivant qui s’active et s’enracine.


C’est l’appel à son arbre de vie, en mouvement rotatoire, pour qu’il vibre en permanence dans notre propre réalité. C’est une construction cellule par cellule de l’être, pour édifier son propre champ de possibilités de manifestation.


Ici, l’être est invité à écouter le battement de la Terre, à fusionner avec elle, à se laisser porter par le rythme de ses êtres Makaba, à vibrer leur essence, et à les conduire jusqu’au noyau terrestre. C’est un chemin de pure conscience, pour vivre et libérer son état divin.



Conclusion


Cette méditation est un appel à l’incarnation consciente. Un élan pour manifester pleinement sa vie, dans son propre chemin, selon sa vibration originelle. C’est se réaliser, recevoir ce qui nous revient de droit, et comprendre chaque étape de cette manifestation.


On est, donc on reçoit avec conviction, clarté, et stabilisation de notre essence profonde.





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